ni vu ni connu
Bilingual blog from Montréal.


vendredi, juin 28, 2002  

L'insoutenable légèreté d'une fin de semaine de 3 jours

Les blogueurs s'amusent ces jours-ci à taper leur nom dans Google, suivi de "is", comme dans "Martine is", et les résultats de cette recherche sont parfois tordants, parfois intriguants, ou encore ils frappent carrément dans le mille. J'ai tenté l'expérience. Voici ce que ça a donné:

Martine is skint. (fauchée)
Martine is having her first of many Perfect Moments.
Martine is a highly respected pianist in increasing demand.
Martine is fully bilingual in English and French.
Martine is een grote dierenvriend. (no idea what that means)
Martine is for sale. Value -- $25,000.
Martine is a sports car restorer and rare engine rebuilder.
Martine is still so young.
Martine is no young chicky.
Martine is convinced she is the next big thing in the world of modelling.
Martine is a 14" baby.
Martine is not really a nagging wife.
Martine is probably much better known in Britain than anywhere else in the world.
Martine is HOT when she wears that leather outfit!
Martine is a tiger.

C'est amusant! J'ai aussi tenté l'expérience en français:

Martine est la meilleure.
Martine est toujours en retard. (Oh oh. Ça n'a rien à voir avec moi...)
Martine est une survivance du carolingien auvergnat de par son narthex et sa façade.
Martine est sous stress fort et manifeste des signes nets de désintégration.
Martine est reconnue pour sa technique rigoureuse.
Martine est dans l'autobus numéro 16.
Martine est une vigoureuse quinquagénaire.
Martine est une fille trop saine.
Martine est très excitée et complètement imprévisible.
Martine est l'un des trois maîtres-chiens de la police de la Communauté urbaine de Montréal.

posted by Martine | 21:37 |


jeudi, juin 27, 2002  

Today someone got to my blog by typing this query in Google:
what should I do about my relationship with martine

Who is this sweet, timid, small cap typing soul, who is using google as a therapist, a confidante or a fortune teller? ( Not my sweet E, I asked already ! ) And did this lost soul find any answer on this site? Probably not. Not all Martines are created equal and this one does not pretend to be a reference in all Martines' matters.

Whoever you are, your query came to me with a strange sense of timing. I have found some answers today. Hopefully you will find yours soon as well.

posted by Martine | 21:59 |


mercredi, juin 26, 2002  

Darnziak revient de voyage et s'apprête à "frencher" son ordinateur (ce sont ses mots, dans une intervention sur son blogue datée du 23 juin). Ce n'est pas qu'il n'a pas aimé le Japon. Au contraire, il a adoré. Mais cet éloignement de son ordinateur lui a fait oublier la culpabilité habituelle de ceux qui ont peur de passer trop de temps devant l'ordi.

Je n'ai jamais osé dire la vérité. Je ne l'acceptais pas, je suppose. Mais à présent, oui. Je le dis : j'aime, profondément, ces moments passés devant mon ordinateur, entièrement seul, la nuit. Ça m'a manqué, au Japon.
Pas comme une drogue dont je serais en manque, ce n'était rien de violent ou de désespéré. C'était plutôt... comme si un côté de moi-même s'était perdu. C'est un moment de la journée sacré, pour moi, les heures nocturnes devant l'ordinateur. En voyage, en mouvement, je ne trouvais pas d'équivalent.


Ce n'est pas facile à avouer, mais je comprends très bien le sentiment qu'il décrit.

posted by Martine | 16:07 |
 

You consider buying a scooter for a long time, thinking this will be the smartest, coolest, most convenient way to get around town. You think of these elegant women riding Vespas in Italy or France, with their perfect sense of style and that long scarf floating in the wind. So you end up buying a scooter. You start it up. You put your helmet on.

And this is what you look like.

posted by Martine | 15:45 |


lundi, juin 24, 2002  

My idea of the ideal fête nationale

Stay in bed until 9:30am. Wake up to a glorious, warm but not humid day. Eat a bagel from the jewish bakery on St-Viateur. Go for a quick ride on a japanese made scooter. Get a light picnic together from the greek grocery store. Climb Mont-Royal on my bicycle while chatting in English with E. Eat while watching the perfectly blue sky. Play frisbee. Read an american autobiography while swinging gently in a yucatan hammock bought by E. in Mexico. Go down the mountain very fast without ever touching the pedals of my bike. Eat a thai dinner cooked by Blork. Watch a 1980 NFB documentary on t.v. about the old quebecois band Harmonium in California. Go to sleep dreaming dreams in a language only I can understand...

Joyeuse St-Jean Baptiste to everybody, with a special thought for my ex-pats quebecois friends in California, who were celebrating Quebec's national day on Sunday in a park not too far from San Francisco.

posted by Martine | 18:03 |


vendredi, juin 21, 2002  

Oh my god... I did it! I dit it!

I finally bought one, and I picked the chrome and black classic edition. I know, it's not the Vespa of my dreams, but it's as close to it as I'll get for now (without a motorcycle licence).

Getting to work was a lot of fun (no more 45 minute subway ride) and I didn't even get caught in the rain. Pictures of me trying to be a scooterbabe will be posted soon!

posted by Martine | 17:03 |


mercredi, juin 19, 2002  

Ce n'est qu'un début...

In an effort to draw attention to their contract negotiations with The Washington Post, newsroom union leaders have asked reporters to stop writing for the paper's prize-winning Web site, Washingtonpost.com, until further notice.
Articles in The Post are automatically posted on the paper's Web site. However, if a significant news event occurs during the day, Post reporters are often called upon to write an additional, early story for the Web site. Post reporters are not paid extra for these stories and can decline to file them, though they rarely do.


From The Washington Post.

posted by Martine | 18:35 |
 

Tiens, tiens, le sujet du bilinguisme à Montréal est vraiment revenu à la mode (merci à Karl pour le lien). Un journaliste du quotidien The Gazette vient d'échanger son poste avec celui d'un autre journaliste de La Presse. Les articles qui résulteront de cet échange seront entièrement consacrés au bilinguisme à Montréal et seront publiés dans cette section de la Cyberpresse.

Moi ce que je voudrais surtout lire, ce sont les commentaires des journalistes à la fin de leur expérience. Différences entre les salles de rédaction? Attitude des nouveaux collègues? Barrière culturelle? Ont-ils hâte de retourner travailler chez leur véritable employeur?

posted by Martine | 15:30 |


mardi, juin 18, 2002  

Think you're being smart in your choice of passwords? According to this BBC News article, most passwords are easy to guess, and can reveal a lot about your personality.

A poll found four distinct categories of computer users when it came to picking passwords: 48% fell into the family category, choosing names, nicknames or birthdates. 32 % the fan category - pick film, sports or cartoon stars for their password. Another 11% start the day by tapping in "s-t-u-d" or "s-e-x-y". These are the fantasists. The smallest group are the cryptics - typically the most computer literate of those surveyed. In an attempt to confuse and confound, these security conscious individuals pick obscure passwords that mix letters, numbers and punctuation.

I think I tend to be a cryptic fan (if you include literature references in this category). Not sure what that says about me...

posted by Martine | 20:05 |
 

Last Monday I wrote about a documentary I had unfortunately missed on Radio-Canada about the anglophone artistic community in Montreal. Well, thanks to the magic of the Web (really!), one of the filmmakers saw my post and wrote to tell me that Ouest Side Stories will air once again on Radio-Canada, Monday, July 1st, at 7pm. I'll have my VCR ready!

posted by Martine | 19:55 |


lundi, juin 17, 2002  

Voir plus loin que le bout de son clavier.

Bilan de la journée ConstellationW3 de samedi dernier : Pas mal plus de gens se sont présentés que je ne l’aurais cru. Au total, une soixantaine de personnes je crois se sont réunies dans une salle de conférence de l’UQAM pour discuter d’Internet selon 3 pôles : sociologique, économique et technologique. J’avais déploré le fait qu’il manquait l’aspect artistique/personnel à ces 3 pôles mais comme je me suis déjà fait entendre sur le sujet, je ne m’éterniserai pas là-dessus.

J’ai aussi été surprise par le nombre de belles têtes blanches qui se sont présentées à cette rencontre. Un tel événement organisé à San Francisco ou à Silicon Valley aurait attiré une foule entre 25 et 35 ans alors qu’à Montréal samedi j’ai vu plusieurs messieurs dans la cinquantaine et même plus. Intéressant comme phénomène... Cela s’explique peut-être par le fait que l’événement de samedi a pris une tournure très académique, les présentations faites par les conférenciers ayant des allures de recherches universitaires. J’ai eu un gros flashback de mes années d’étudiante de deuxième cycle en cinéma, quand, au lieu de regarder des films ou d’en tourner, nous passions notre temps à faire de la haute voltige intellectuelle et à discuter de points de vue théoriques tous plus abstraits les uns que les autres. Ce genre d’exercice peut être stimulant intellectuellement, mais ce n’est pas l’angle sous lequel je m’intéresse à ce qui se passe actuellement sur le Web. Est-il possible que nous puissions parler du Web pendant des heures à partir de schémas avec des cercles et des flèches sans vraiment rendre visite à certains sites Web, alors que nous en avions la capacité technique?

C’est probablement parce qu’elle était beaucoup plus ancrée dans la réalité que la session technologique de la journée fut celle qui a suscité le plus de réactions. Nous avons eu droit à une belle et courte présentation d’un Karl toujours aussi articulé qui nous a parlé des standards étudiés par le (la?) W3C. (Belle citation de Karl : Google est aveugle. Il ne voit pas le Web, il le lit.) Nous avons aussi eu droit à un vrai one man show de la part d’un très punché Sylvain, qui nous a démontré ses talents d’orateur, d’humoriste et de concision (un exemple de présentation à suivre). Le tout s’est terminé par un bon reality check de René Barsalo qui s’est amusé, à mon grand bonheur, à parodier avec art les très savants diagrammes de cercles et de flèches.

Sur la soixantaine de personnes présentes, j’ai compté environ 8 femmes. Je n’étais pas étonnée : j’ai participé à assez de tradeshows en informatique où l’on ne retrouvait que des hommes pour ne plus me surprendre du phénomène. Dans sa présentation, René Barsalo avait donné l’exemple d’une utilisatrice type, assistante administrative, qu’il avait baptisée Ginette. Le tout a dégénéré en gag et la pauvre Ginette est paradoxalement devenue un phénomène à la Yvette, la porte-parole à la fois des femmes présentes dans la salle (mais dont la plupart s’y connaissait très bien en informatique) et de ceux qui résistent à la « geekisation » du Web, ou ceux qui croient à l’utilisateur avant le code (notons que plusieurs hommes font également partie de ce groupe).

J’ai fait plusieurs rencontres fort agréables, j’ai vu plusieurs contributeurs de Pssst sans le masque de leur pseudonyme (et j’ai pu ainsi révéler le mien) et surtout, surtout, j’ai adoré cette prouesse technologique qui nous a permis de suivre à la fois ce qui se passait dans la salle de conférence et ce qui se créait en même temps sur le Web. Imaginez la scène : un conférencier parle à 60 personnes réunies dans une salle, dont certaines rédigent leurs commentaires en direct sur le Web pendant que d'autres prennent des photos et les publient immédiatement. La conférence est retransmise par audio sur Internet et plusieurs internautes réagissent en direct aussi aux propos tenus. Toutes ces impressions, caricatures, photos et commentaires, sont retransmis sur l’écran derrière le conférencier, provoquant une réaction dans la salle, et influençant ainsi le cours de la conférence. Ça c’est ce que j’appelle de l’interactivité et de l’instantanéité! Chapeau aux organisateurs pour ce tour de force et pour avoir su voir plus loin que le bout de leurs claviers.

posted by Martine | 14:34 |


vendredi, juin 14, 2002  

Je passerai toute la journée d'aujourd'hui enfermée dans une salle de conférence avec une bande de geeks maniaques d'Internet, que je connais pour la plupart seulement par leur identité Web. Associer visages et courriels, blogues et binettes... Tout un samedi en perspective! Non, je ne bloguerai pas en direct à partir de la conférence (mon gros Dell de table ne me suivra pas jusque là et mon Palm n'est pas équipé pour ça) mais j'en reparlerai sûrement dans les jours qui viennent.

posted by Martine | 21:15 |
 

It's been 7 hours and 15 days...

C'est le blogue d'une histoire d'amour. Celui d'un homme qui se dit "complètement" amoureux. Sa douce est partie en vacances pendant 3 semaines, mais elle l'aurait quitté qu'il n'aurait pas été plus triste. Chaque jour il "blogue" à son sujet, et décrit les milles manières par lesquelles son ennui se manifeste. Tout, absolument tout lui fait penser à elle.

Je me demande s'il faut le plaindre ou l'envier.

posted by Martine | 15:54 |


mardi, juin 11, 2002  

Salsa

He pulls three fingers of garlic
from the stinking fist and crushed them
without guilt, with joy.
It's summer and the knife is perfect,
its heft well-practiced, a promise in the hand.
He hums love songs, caressing the tomatoes.
He scalds them and steam fills the kitchen like sweat.

Skins shed themselves, seeds are coaxed
from the bodies with a scoop of thumb.
It is a good day to make salsa.
The lemon, a small, bitter planet, halved
and bled into the bowl. He licks the juice
from his wrist and finds his lips pursed for kissing.
He dices the rind into fragrant confetti.

The onion, bouquet from the ground, tossed in the air,
dry brown skin like an old woman who has seen
everything under the too-bright sun.
It is caught on its smooth descent and quickly put to death.
He lines the peppers up on the chopping board,
snaps his fingers, rubs cilantro leaves
between his palms, then scents himself
behind the ears, around his neck.
He ladles the salsa into a glass jar
and waits like a sniper
for his lover to come home.
He will feed her well
and watch for her to sweat
from those tender places beneath her eyes.

(Adapted from Salvadoran Salsa, by Kascha Piotrzkowski)

Happy birthday, Blork.

posted by Martine | 21:04 |
 

David's résumé.

This boy makes great Web sites. This boy does good tech support. This boy will make you all the toasts you want if you hire him. Give this boy a job !

posted by Martine | 19:14 |


lundi, juin 10, 2002  

Deux solitudes ou deux attitudes ?

Article intéressant dans La Presse de ce samedi, 8 juin, sur les artistes anglos montréalais. La journaliste Marie-Christine Blais déplore le fait que ces artistes de talent soient méconnus du public francophone mais, fait cocasse, son article reste introuvable sur le site de La Presse qui a peut-être jugé qu'il était d'un intérêt secondaire... Et pourtant ! Il y est question du Montreal Fringe Festival et de ses spectacles alternatifs (dont Blork fera bientôt la critique sur son site), de la Casa Del Popolo sur St-Laurent et de la troupe Infinitheatre, qui prépare un cabaret costumé le 18 juin sous le thème d'Éros. Parions qu'on y retrouvera Karl dans son birth costume ! (Karl, ça devrait augmenter à nouveau mon effet sexe, comme tu dis.)

Ceux qui me connaissent ou qui me lisent plus ou mois régulièrement savent que je m'intéresse de près depuis quelques mois au côté anglophone de Montréal. Quand j'ai quitté la Californie pour revenir vivre au Québec, j'ai d'abord cru que mon nouveau cercle social allait automatiquement inclure des anglophones. Ce ne fut pas le cas et j'ai été surprise de constater comme les communautés francophones et anglophones de notre ville, dont les jeunes gens sont en majeure partie bilingues, ne se mélangeaient pas du tout. J'avais l'impression d'être privée de l'accès à tout un pan de la culture de ma ville, faute de contacts qui me permettraient de franchir cette barrière des langues.

Cet article de La Presse et les questions qu'il soulève ont donc capturé mon attention. Marie-Christine Blais dit: Ils se nomment Jeremy Stacey, Ira, Rufus, Guy, James, Martha, Adam, Melissa... Ils sont artistes. Ils sont jeunes. Ils sont Montréalais ou sont arrivés ici très jeunes. Et ils sont anglophones. Comment vivent-ils cette quadruple identité ? Le bilinguisme est-il indispensable à leur survie ? Et pourquoi ont-ils souvent l'air plus "flyés" que leurs comparses francophones ?

Je vais peut-être me faire quelques ennemis (et ce n'est pas du tout mon intention) mais je ne peux m'empêcher de me demander si le meeting du 15 juin de ConstellationW3 aurait eu des allures aussi sérieuses s'il avait été organisé par des anglos montréalais friands du Web. Messieurs, un peu de fantaisie dans cet horaire ! C'est du merveilleux monde alternatif du Web dont il est question après tout.

L'article mentionne également un documentaire sur la communauté anglo-artistique intitulé Ouest Side Stories que j'ai raté en mai dernier lors de sa diffusion à Radio-Canada. Si vous entendez parler d'une rediffusion, faites-moi signe !

posted by Martine | 18:03 |


samedi, juin 08, 2002  

Musthaveloosenedit

We all know that frustrating feeling when you try to open a jar that is stuck. You struggle to open it, you bang the jar on the counter, even try those plastic gizmos that never really work. You run hot water over the lid to get it to move, you hold your breath and try to gather all your strength in one hand to open the damn thing, and you finally give up and hand the jar to somebody else, who opens it in one try, effortlessly.

It’s the same with men. For years you try to get the guy to open up/pick up his socks/get more romantic/get a new haircut/whatever. You struggle, you hold your breath, you try the soft approach, you dream about banging his head on the counter, you give it another shot, and finally you give up. Then some other girl shows up, and pop! The lid is off. He gets it. He changes (some). The new girl thinks it was all perfect and effortless.

But you know you did all the damn work.

(Special thanks to Lucie, my future landlandy, for the inspiring phone conversation.)

posted by Martine | 11:32 |


jeudi, juin 06, 2002  

Generation V (for Viagra)

I just read an article in Newsweek about safe sex education in retirement homes. According to this article, now that Viagra increases the sexual activity of elderly, AIDS is on the rise among our parents and grandparents, and a lot of them think that their age keeps them from needing condoms. The article also mentions the condo Casanovas who bed-hop, exploiting the skewed female-to-male ration (7 to 1) of most retirement communities. If my dad knew this, he might feel different about abandoning his now too big 4 1/2 bedroom apartment...

It got me thinking about the kind of retirement home I will be able to find when I get to that age. The baby boomers are starting to retire now, and they might open the way to a new generation of "homes". I'm expecting high speed access for all with a bunch of geek geezers playing Half Life on the home network, HDTV in each room with a direct feed for digital movies from the great collection of the main library, lunch and dinner menus selected daily from the home's intranet, clothing that monitors your vital signs and sends the info to your doctor wirelessly, and monthly meetings at the resto-bar La Cabane for the Bloggers with Walkers web ring. Oh, and did I mention free, sponsored Viagra?

Man, I almost feel like moving in there right now! Aside from the female to male ratio, what's not to like about getting older?

posted by Martine | 06:45 |


mardi, juin 04, 2002  

Demain soir, mercredi, c'est la rencontre des YULbloggers, c'est à dire ceux qui font des blogues et qui vivent à Montréal. C'est un rassemblement très informel, une excuse en fait pour se retrouver autour d'une bière vraiment pas chère. La dernière fois que j'y étais, ça parlait geek (mais pas tout le temps, dieu merci), ça parlait blogue, ça parlait bouffe, ça parlait anglais et français, et ça parlait de Montréal. C'est au "chic" resto bar La Cabane (ce sont les anglophones du groupe qui ont choisi l'endroit ;-) (3872, rue St Laurent) et ça débute vers 20h00. Il y a deux salles dans ce resto bar alors pour trouver le groupe, cherchez une vache normande et un grand français du nom de Karl. Ne vous fiez pas à la plupart de ces photos, il devrait être habillé mercredi soir.

posted by Martine | 10:25 |


lundi, juin 03, 2002  

Guilt is easy and there's plenty to go around. Responsibility, well, that's another story.

From a review of Lantana, a very well directed australian movie. You should see it in a movie theater (it's still playing in Montreal) even though it's already available as a rental .

posted by Martine | 17:09 |
 

Vous vous souvenez de Normand L'Amour, ce septuagénaire qui nous avait "enchantés" en 1998 avec ses compositions qui ne ressemblaient à rien d'autre? L'hebdomadaire Mirror m'a fait découvrir un autre de ces musiciens/chanteurs dont les oeuvres mériteraient de faire partie d'une exposition spéciale au Musée de l'art brut de Lausanne. Il s'agit de Shooby Taylor, un chanteur sans mot qui se qualifiait de "human horn", ou trompette humaine. Il faut l'entendre faire du scat sur des pièces aussi variées que Tico Tico ou Somewhere Over the Rainbow. Fou et fascinant à la fois, cette musique de nulle part...

Au contraire de monsieur L'Amour, qui ne ménageait pas ses apparitions publiques, Shooby Taylor semble avoir réussi à créer tout un mystère autour de lui, de sorte qu'un site Web entier est dédié à sa recherche.

Sur une toute autre note...

Après avoir vu le film Spider-man, j'avais en tête la version de la chanson que nous fredonnions quand nous étions enfants: L'araignée, l'araignée, fait une passe à Cournoyer, Cournoyer tombe su'l cul, et l'araignée score un but... Je n'ai aucune idée d'où sortait cette version mais le Top Ten Kétaine de l'hebdomadaire Voir nous offre une version encore plus kitsch de la chanson thème de Spider-man, en français, of course!

posted by Martine | 08:19 |


samedi, juin 01, 2002  

Qu'est-ce qui se passe chez Blogger? Ils n'acceptent plus les accents? Grrrrr....

posted by Martine | 12:45 |
Vu
Lu
Entendu
Connu
Veux-tu?
M'as-tu vu
Déjà vu
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